Afin de favoriser les mobilités douces et fluidifier l’accès au site, nous vous proposons un système de navettes entre la gare de Redon et le village d’accueil.
Quelques infos à savoir :
- Inscription obligatoire et ouverte jusqu’au 31 mars en cliquant ici !
- Le nombre de places par navettes est limité. 1er arrivé, 1er servi !!
- Tarif de 2 € par trajet (soit 4 € l’A/R). Il vous faut réserver l’aller ET le retour
- L’intégralité de la recette sera reversée à l’asso M’TOTO (développement d’actions solidaires au Sénégal)
- Horaires des navettes fixes (soyez à l’heure, ne traînez pas au Tiken Bar !)
- En cas de besoin, contactez nous à tiken.move@gmail.com
Un petit exemple pour vous aider ????
Julien est de Nantes (ou Vannes, Rennes, Annecy, Malansac ou Bastia…) et participe au 50KM qui part à 10H.
Julien prend donc le train à la gare de Nantes le 19/04 et arrive à 8h19 à Redon.
Il patiente alors quelques minutes, repère une des navettes (minibus) présente devant la gare de Redon et grimpe dedans ! Les navettes sont faciles à repérer, une oriflamme de 3m de haut (et personnalisée Tiken Trail) symbolise leur lieu de stationnement.
Ainsi à 8h45, Julien est à Tiken, peinard, tranquille, retire son dossard et va s’échauffer tout en profitant des animations du village d’accueil !! Julien a aussi ramené un sac avec pas mal de vêtements mais no stress, il peut le déposer à la consigne gratuite sur le site.
17h30 : Julien passe la ligne d’arrivée après 7h30 d’effort. Il est lessivé, éreinté mais heureux !! Il récupère son sac, va à la douche (et oui, nous avons aussi des navettes qui vous y emmènent). Il peut ensuite tranquillement regarder les podiums , le tirage au sort ( imaginez qu’il remporte la dernière montre de chez Garmin…), les animations de dingue sur le site et le début des concerts !!
Il peut assister à tout cela car il s’est inscrit à la navette de 20H pour rejoindre la gare de Redon !
20h15 : il est à la gare et rentre à Nantes en train.
Souci: il s’endort dans le train et arrive finalement à Bordeaux….Bon là on ne peut plus rien faire...

